On en revient, de sex and drugs and rock n’roll?
[NSFW : mentions de drogues]
Catégorie : Musique
Comment les Blancs ont pillé les Noirs aux prémisses du rock n’roll. Avec des morceaux de Little Richard et Chuck Berry dedans!
Tel d’aucun il n’y a finalement pas si longtemps, je prends mes couilles à deux mains et je le dis haut et fort : “Ich bin eine Groupie” !
Ils sont parmi les pionniers de l’E.B.M., Electronic Body Music. Leur concert au BSF nous a assuré qu’après une trentaine d’années de carrière, leur musique ne perd pas de sa force ni eux de leur créativité. J’ai été très honorée de deviser avec monsieur Dirk Da Davo, moitié de Neon Judgement (celui qu’on retrouve le plus souvent derrière le synthé) de sujets aussi variés que le punk, ses vacances et George Orwell.
Backstage du Brussels Summer Festival. Madé J picole, fume, rigole. Il vient de sortir de scène. Et c’était un putain de concert ! Genre le résultat des fornications de Robert Johnson et de Poison Ivy. L’arbre du rock n’roll, la scène comme un coma de trois secondes, un sein qu’il agrippe… je mets qui que ce soit au défi de s’emmerder avec cet adorable sale gosse !
Après leur excellente prestation à Bruxelles-les-Bains, nous retrouvons Jeremy Alonzy, alias Dirty Coq, bassiste et guitariste du burné trio liégeois qui n’a pas oublié les racines du rock n’roll.
« Le plus beau en musique, c’est le mot « jouer ». On joue la musique. Dire ça, comme métier, j’adore. « Qu’est-ce que tu fais ? — Je joue. » »
J’ai réussi à ne pas me noyer dans la sueur, je peux donc vous relater le tournage du clip de M.O.R.E., des Progerians.
Vive le gros rock qui tache!
L’humour de Françoise Cactus et la douceur de Brezel Göring m’ont vite fait oublier ma gueule de bois. Stereo Total après la Grosse Praline : un lendemain de veille bien sympathique !
« On définit La Horde comme un groupe cinquante pour cent comique, cinquante pour cent musique. »
Les ambianceurs de la folk m’ont rencontrée à la Porte Noire.
C’est alors qu’il effectuait un post doctorat en optique biomédicale aux États-Unis que Frédéric Bevilacqua a commencé à travailler avec des chorégraphes. Depuis, que ce soit par l’invention de nouveaux instruments de musique, des travaux sur la rééducation par le son ou une installation en collaboration avec un danseur, il se penche sur le mouvement. Entretien avec un homme passionné.